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Romans édités

 

 

 
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Les choix de Lara
Renata Ada-Ruata
Editions Maurice Nadeau, 2019
 
Les Choix de Lara est un récit à plusieurs voix. Celle d’une jeune américaine, Janet, sur les traces du passé de sa mère Lara, celle du journal d’un écrivain, Giuseppe Messina, celle d’un narrateur qui met en perspective la figure de Medhi, immigré tunisien travaillant sur les chantiers navals de Toulon. Le brouillon d’une lettre de rupture écrite par Lara va amener Janet en France et la lancer dans une enquête sur Lara et Giuseppe qui l’amènera jusqu’à Medhi. Petit à petit se dessinent les traits d’une histoire commune – au lendemain de la Guerre d’Algérie et sur fond de bouillonnement social et artistique des années 60 – où la passion amoureuse s’est confrontée aux préjugés.
 
mai68
PROGETTI SPAESATI
Renata Ada-Ruata
La Memoria del Mondo editore, 2019
Ce coffret comprend quatre livrets contenant poèmes, dessins et aquarelles, tous inédits.
 
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Elle voulait voir la mer...
Renata Ada-Ruata
Editions Maurice Nadeau, 2018
 

Préface de l'auteure

Un roman à lire ou à relire. Publié par Maurice Nadeau en 1985, ce premier roman a
obtenu le prix populiste l’année suivante. La presse en a parlé, en particulier Bernard
Geniès a écrit dans Le Monde : « Des milliers de femmes pourraient se
reconnaître en elle pour qui l’avenir demeure un refuge inespéré, un coin de
ciel bleu dans la grisaille du quotidien. Oui, tout cela est banal et Ada nous en
convainc parfaitement. Mais son écriture dit autre chose. Entre les mots, au
détour des phrases s’élève une voix cassée par la nostalgie, le mal de vivre, la
disparition des êtres chers. (…) On aimerait pleurer en lisant, tant les larmes
consolent parfois d’avoir les pieds sur terre. La simplicité de son récit lui donne
 
mai68
Mai 68 par celles et ceux qui l'ont vécu
Ouvrage collectif
Editions de l'Atelier/Mediapart, 2018

Postface Edwy Plenel


« Un moment d’histoire dont le souffle a transformé des vies. Un passé si fort qu’il travaille encore le présent. »
 
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Filles de mai, 68 mon mai à moi - Mémoires de femmes
Ouvrage collectif
Editions Le Bord de l'Eau, 2018

Préface Michelle Perrot, postface Ludivine Bantigny

« Elles ont entendu Michelle Perrot parler du silence des femmes dans l’histoire. Elles ont voulu dire Mai 68. Elles se sont réunies. Elles ont parlé et beaucoup ri. Elles se sont souvenues. Elles ont écrit et les écrits ont voyagé de l’une à l’autre de toutes à toutes échos croisés de l’avant, du pendant et de l’après. Des mots ont pris le pouvoir des mots mémoire, des mots passion et l’abécédaire est né de la mémoire de ces filles de mai. » Monique Bauer, coordinatrice
 
 
 
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L'université au travail - Portraits.
Presses Universitaires de Rouen et du Havre, 2018

Ce volume collectif publié par les PressesUniversitaires de Rouen et du Havre inclus Portrait d’un grand corps vivant , texte hybride, et un dessin à l’aquarelle intitulé « Carte des Savoirs », tous deux conçus sur le campus de Rouen lors de la résidence d’écriture de l’auteure.
 
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BATTISTA REVENAIT AU PRINTEMPS
Roman
Editions de l’aube, 2014
Format de poche, 2017

Distribution
France et Belgique : Harmonia Mundi
Suisse : Zoé
Canada : Dimedia















Titto et Neto partagent une même tendresse pour Ghitta, leur grand-mère. Un même attachement à leur village, perdu dans les montagnes du Piémont italien. Une même admiration pour le maître d’école, qui n’a de cesse de les voir s’ouvrir au monde. De mêmes émois amoureux avec la fantasque Angiolina. Et un même travail saisonnier, qui les emmène chaque année avec leurs aînés dans la vallée alors que l’Histoire gronde, sous la montée du fascisme dans une Italie divisée.

« J’ai aimé ce récit d’apprentissage, rude et tendre, qui est aussi un beau témoignage sur la vie des ambulants piémon- tais. Le monde des hommes et celui des femmes s’y côtoient et s’y interpénètrent. En arrière-plan, le fascisme s’installe et menace. Il faut vivre caché... Un vrai plaisir de lecture.»

Michelle Perrot
 
laviegeante
La Vie Géante
(nouvelle – format carte postale)
Texte Renata ADA-RUATA
Illustrations Louise Smith

Editions D’Un Noir Si Bleu (DNSB), jeunesse, 2013
www.dunnoirsibleu.com

Comment échapper à une vie morne et terne, quand on a 13 ans ?
On peut prendre la voie du mauvais garçon ou celle de l'imagination
 

Ces tout petits riens du désastre
Renata Ada-Ruata
Editions Yago
, collection Ciel Ouvert, 2009
(www.editions-yago.com)

 

« Pourquoi ces injures ? Pourquoi ces injures sur leur nom ?

 

De retour de l'école Milena avait trouvé la boîte aux lettres recouvertes d'insultes. Elle les avait effacées, jusqu'au dernier trait de feutre. Restait une trace noire. Daniel lui apprit que, quelques jours plus tôt, il avait arraché un papier où leur nom était déformé en un quolibet ordurier. Il ne voulut pas lui en donner la teneur, inutile.

 

La tension qu'elle portait en elle s'accentua, cette tension, latente, depuis qu'ils étaient revenus.

Le Paris qu'ils avaient quitté des années auparavant flottait dans l'euphorie de la victoire de la Gauche. Aujourd'hui l'atmosphère était tout autre, morosité et indifférence y prévalaient. Un malaise aussi. »

 

Un roman court et dense, un suspens maintenu avec précision, mis en valeur par une écriture remarquable de simplicité, efficace et limpide.

 


 
 

RETOUR, nouvelle (format carte postale)

Renata Ada Ruata
Editions D'un Noir Si Bleu, 2008 ( www.dunnoirsibleu.com )

 
 
 
"Il vivait maintenant aux confins de la Terre. (...) Lorsque les rayons du soleil filtraient à travers le tumulte des nuages de cobalt noir, il entrait en extase. (...) Le soir, sous sa lampe ou en fin de semaine, il peignait ces bouleversements."

 
 


 
ELLE VOULAIT VOIR LA MER …

Ada
Editions Maurice Nadeau, 1985
Une famille ouvrière italienne dans la banlieue parisienne. Le père est maçon. La mère rêve d’un meilleur sort pour ses enfants. Elle parvient à faire entrer Renata au lycée. Pas d’autre orientation pour Renata que « le technique ». Elle effectue un travail de bureau dans une grande « boîte » alors que ne cesse de l’habiter le désir de parvenir à la culture et de se réaliser.
 

Mai 68. Le père, à qui elle était fort attachée, meurt, sans avoir concrétisé son ambition de construire de ses mains une maison pour la famille. Au lieu de faire le riche mariage rêvé par la mère, Renata s’éprend d’un ouvrier. Elle vit avec lui et l’épouse, ils sont tous deux portés par la vague d’espoir en une vie nouvelle. Quand la vague retombe, ils se sentent « les dindons de la farce ».

Ada a approché un milieu bourgeois par son frère, richement marié. Elle en voit les côtés repoussant au regard de son idéal. Le groupe des camarades de Mai 68 s’est dissous. Rien à espérer de ce côté-là non plus. Son entrée en faculté lui apportera-t-elle la solution d’une vie autre ?

Par des moyens littéraires simples mais efficaces Ada nous fait partager le « mal de vivre » d’une jeunesse et d’un milieu que notre société laisse sur le bord de la route. Des milliers de Renata se reconnaîtront en cette fille attachante qui n’abandonne pas l’espoir de forcer les portes d’un monde où elle pourra s’accomplir dans le respect d’elle-même.

Fille de maçon italien, Ada a émigré en France avec sa famille en 1951. Elle a passé son bac à Paris et après la mort de son père a travaillé plusieurs années comme secrétaire avant d’enseigner dans les L.E.P. puis des lycées techniques. Actuellement elle se consacre essentiellement à la Formation Continue pour Adultes. Elle voulait voir la mer… est son premier roman.

Ce premier roman, publié par Maurice Nadeau et épuisé depuis longtemps, sera bientôt disponible.



 
 
 
LES ÉTOILES À NOUVEAU
Ada
Editions Maurice Nadeau, 1987

Elle voulait voir la mer… (Prix Populiste 1985) c’était l’histoire de Renata qui ne se résigne pas à sa condition de fille d’immigrés italiens dans la banlieue parisienne. Vive, intelligente, aimant la vie, elle pense franchir par les études les obstacles qui la séparent d’un destin plus enviable. S’ouvre seule pour elle la carrière du « Technique » et elle épouse un jeune ouvrier. Mai 68 constitue pour eux le bref espoir d’une vie nouvelle, mais ne tardent pas à venir les désillusions, puis la séparation. Elle veut entrer à l’Université.


Les étoiles à nouveau nous montre une Renata obstinée dans son dessin : mener une existence qui vaudrait la peine d’être vécue. Enfant, elle a été fascinée par la vie choyée et sans soucis matériels d’une condisciple d’école : Raphaëlle. Elle retrouve Raphaëlle et, après qu’elle a quitté André son mari, elle décide de vivre avec son amie.

Toutefois, le souvenir d’André ne la quitte pas. C’est avec lui, non avec Raphaëlle, qu’elle doit lutter pour changer leur destin. Ce qu’elle imagine pour hisser André à la hauteur de sa propre ambition constitue le clou de ce nouveau roman d’Ada, plus attachant encore que le précédent, plus « intérieur » et plus près encore des vraies questions qui se posent à une certaine jeunesse d’aujourd’hui.

 


 
 
 
LE SILENCE DANS LA MAISON
Renata Ada

Editions Baleine, 2002

Côte sud de l’Angleterre. Eva, quinze ans, sort de l’hôpital, muette. Avec Sophie, sa mère adoptive, elle a été agressée par un groupe de skinheads.
Londres. Dans un squat, Peter, sa copine Nin et Benjamin le leader vivent avec d’autres paumés.
Peter vient d’un milieu populaire, Benjamin est fils d’aristocrates. Tous deux manifestent la même haine envers la société, cultivent la même violence. Sont-ils pareils pour autant ?
Alan, le père d’Eva, tente de rationaliser la violence dans son travail de cinéaste. Mais, après l’agression de sa femme et sa fille, il sent haine et violence monter en lui…
Survient la rencontre inattendue, placée sous le signe de la grâce. Le silence de l’un fait surgir la parole étouffée de l’autre. Peter sera-t-il
sauvé ?
Eva grandira-t-elle ?

 


 

 

 

FILLES DE MAI,
68 mon MAI à moi, mémoires de femmes Editions

Ouvrage collectif

Le Bord de l’Eau, 2004

Elles ont entendu Michelle Perrot

parler du silence des femmes dans l’histoire.
Elles ont voulu dire Mai 68.

Elles se sont réunies.
Elles ont parlé et beaucoup ri.
Elles se sont souvenues.

Elles ont écrit
et les écrits ont voyagé
de l’une à l’autre
de toutes à toutes
échos croisés
de l’avant, du pendant et de l’après.

Et puis des mots ont pris le pouvoir,
des mots mémoire, des mots passion
et l’abécédaire est né
de la mémoire de ces filles de mai.

 

Monique Bauer


 

 
 
 
La voie de Tina

Ada Ruata
Editions Syros Jeunesse, 2004

Tina vit avec sa mère dans la loge de concierge d’un immeuble parisien. La petite fille est fascinée par la Dame du Sixième,comédienne de théâtre. Petit à petit, la Dame du Sixième devient pour Tina la Dame en Bleu, puis Tante Léa, puis Léa tout simplement, la personne la plus importante de sa vie, celle qui la fera rêver à d’autres horizons et l’aidera à trouver sa voie.


 


 

 

Itinérances, cheminer aussi vers soi-même

Renata Ada Ruata

Ed. Fondazione A. Olivetti, 2007


 

EXTRAIT DE L’INTRODUCTION DE PAOLA CORTI

C’est une histoire d’hommes qui partaient comme ramoneurs, étameurs, vendeurs ambulants, mineurs, maçons ; c’est une histoire de femmes qui allaient prêter leurs bras dans les maisons bourgeoises et dans les manufactures, au-delà même des frontières, ou qui restaient au pays, à travailler leur terre, s’occuper des animaux, tisser sur leurs métiers, soutenant ainsi les migrations des autres membres de la famille. Cela jusqu’à ce que les guerres, et d’autres évènements importants publics et privés, viennent interrompre un mode de vie qui perdura sur plusieurs générations.

Mais l’histoire racontée par Itineranze est aussi celle d’hommes et de femmes qui arrivent.

C’est le récit de rencontres et d’échanges répétés.

 

 

En cliquant ici vous pouvez lire le texte théâtral (version française à partir de la page 74) de Itinérances, cheminer aussi vers soi-même - Itineranze, anche un camminar verso se stessi (version pdf)


 

 

Itineranze, anche un camminar verso se stessi

Renata Ada Ruata

Ed. Fondazione A. Olivetti, 2007

 

ESTRATTO DELL’INTRODUZIONE DI PAOLA CORTI

 

 

È una storia di uomini che partivano come spazzacamini, come ramai, come venditori ambulanti, come minatori, come muratori; è una storia di donne che andavano a prestare la loro opera nelle case e nelle manifatture, anche oltre le frontiere, o restavano in paese, a lavorare la loro terra, a governare gli animali, a tessere sui propri telai, sostenendo così le migrazioni degli altri membri della famiglia. Questo fino a quando le guerre, e altri importanti eventi pubblici o privati, andarono a interrompere un modo di vita sostenuto lungo una sequenza plurigenerazionale.

Ma la storia narrata da Itineranze è anche quella di uomini e donne che arrivavano. É il racconto di scambi e di incontri reiterati.

Il testo (in italiano e in francese) potrà essere letto on-line dall’inizio di 2008 sul sito della Fondazione Adriano Olivetti

www.fondazioneadrianolivetti.it


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